Auteur d’une prestation très en-deçà dans de son standing habituel que ce soit sur le plan technique que sur le plan tactique hier face à Manchester City (1-0), le Paris Saint Germain a dit au revoir à ses rêves de gloire en Ligue des Champions, pour la quatrième fois consécutive en quatre ans, un record.
Transparent en première mi-temps, l’attaquant star du club de la Capitale, Zlatan Ibrahimovic fut l’objet d’une offre pour le moins incroyable de la part des dirigeants qataris, loin d’être avares avec leur protégés quand il faut mettre la patte au porte-monnaie.
Soucieux de vouloir précéder leurs voisins émiratis dans la quête du Graal en C1, le Cheikh Al-Thani se serait entretenu en personne avec le géant suédois à la mi-temps de la rencontre en lui proposant la bagatelle de 60 millions d’€ pour marquer le but décisif pour la qualification parisienne en demi-finales de la compétition :
– Mon ami Zlatan, tu as déjà encaissé 60 millions d’€ depuis ton arrivée pour nous marquer une centaine de buts face à des équipes de quartier. Si je t’en donne 60 millions de plus tout de suite, est-ce que tu peux s’il te plait, ô plus grand joueur et plus charismatique de la planète m’en marquer juste un. Je sais que les penaltys et les actions toutes faites ce n’est pas ta tasse de thé et que tu préfères marquer des buts venus d’ailleurs (ou de nul part) mais ce soir s’il te plait, fais nous plaisir, marques en juste un et qualifie nous une fois pour toute dans le dernier carré de cette « zlatanée » compétition. Je ne veux pas que les Emiratis de City se foutent de ma gueule lors du prochain sommet de l’OPEP à Doha. Fais moi plaisir accepte !
– On n’achète pas Zlatan comme ça ! Zlatan ne sait déjà pas quoi faire de son argent et n’a pas besoin de 60 millions pour ressembler à ce petit Cristiano Ronaldo qui aime se faire remarquer en enchainant les triplés face à de grosses équipes européennes. Zlatan est unique et prèfere rester star à Troyes, Reims et à Bologne. Merci de l’offre Cheikh.
On a bien compris le message en deuxième mi-temps