Juin 2013, Laurent Blanc s’installait sur le banc du Paris Saint-Germain. Critiqué pour être un choix par défaut, le technicien français s’est imposé au club parisien.
Dans Le Parisien, Frédéric Antonetti et Christophe Dugarry défendent l’entraîneur.
Il n’était peut-être pas le premier choix. Mais aujourd’hui, il a largement le niveau. Il a montré qu’il était capable d’évoluer et qu’il savait faire progresser son équipe. Il a aussi eu l’idée géniale de s’entourer d’un adjoint très compétent, Jean-Louis Gasset. Certains diront toujours que c’est facile avec un tel effectif. Mais au contraire, il faut être costaud pour gérer à la fois la pression et toutes ces stars, indique Antonetti. De très bons joueurs sont sur le banc : Sirigu, Lavezzi, Pastore… Et pourtant, on n’entend personne râler. C’est la preuve qu’il a une gestion intelligente de son vestiaire.
estime l’ancien coach de Rennes.
Il a installé une patte, un style. Le spectacle est au rendez-vous. Tout le monde se régale. Est-il dans le top 5 des entraîneurs européens ? C’est une évidence ! En fait, il faudrait inverser la question et dire : Blanc peut-il aujourd’hui entraîner le Real, le Bayern ou Barcelone ? Il n’y a aucune raison objective de répondre non ! Il fait partie des meilleurs.
s’enflamme le consultant sur Canal +.
D’ailleurs, le PSG aimerait prolonger Laurent Blanc.