Interrogé sur la place de Javier Pastore dans le onze titulaire, Laurent Blanc, en conférence de presse, explique ses choix difficiles à faire comme pour le milieu de terrain argentin.
Il y a des choix à faire. Que ce soit avec Javier ou avec d’autres. On le savait depuis le début. Tous les entraîneurs doivent faire des choix, il y en a des plus difficiles que d’autres. J’essaierai de faire les meilleurs choix possibles pour l’équipe, les résultats me diront s’ils seront les bons ou pas. Tous les entraîneurs ont la migraine ou ce genre de casse-têtes. Certains joueurs comprennent mieux les choix que d’autres. Certains joueurs pensent qu’ils ne seront pas titulaires lors des gros matches si le groupe reste en état. Mais un groupe évolue. Il y a des entraînements, des matches, des blessures, des états de forme différents. Un entraîneur a son équipe-type, mais on ne peut pas toujours l’aligner. Il faut tenir compte de la forme du moment, c’est important. On doit donner de l’espoir à tout le monde. Certains sont partis mais ils avaient joué 20 ou 25 matches par saison. Si un joueur est bon, il peut en jouer au moins 30. Il faut être performant quand une porte s’ouvre, à Paris comme ailleurs.